cartouche sacré coeur

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dimanche 28 septembre 2014

Quelques prières de ST PADRE PIO



EXTRAIT DE L'ARTICLE : 

L’âme s’embrase au contact de l’Amour Divin




Pour le règne du Christ
« Ô Christ ton règne est proche ; fais-nous participer à ton triomphe sur la Terre pour ensuite avoir part à tonRoyaume Céleste. Accorde-nous de pouvoir communiquer ton amour et d’annoncer ta royauté divine par l’exemple de notre vie et par nos œuvres. Prends possession de nos cœurs ici-bas, afin qu’ils soient tiens pour l’éternité. Ne permets pas que nous nous éloignons de ta volonté : que ni la vie ni la mort ne parviennent à nous séparer de toi. Que notre cœur ait sa source en toi, notre Sauveur, pour que, rassasiés de ton amour, nous devenions les apôtres infatigables de ton règne. Que nous mourions chaque jour à nous-mêmes pour ne vivre que de toi seul. »
Prière à la Vierge Immaculée
« Ô Mère, mets en moi cet amour qui brûlait en toncœur pour ton Fils.
Moi qui suis faible, j’admire le mystère de ton Immaculée Conception.
Je le désire ardemment : purifie mon 
cœur pour qu’il puisse mieux aimer Dieu ; purifie mon esprit pour qu’il puisse s’élever à lui et le contempler, l’adorer et le servir en esprit et en vérité ; purifie mon corps pour qu’il devienne un tabernacle moins indigne de la recevoir, lorsqu’il vient à moi dans l’Eucharistie. »
Prière aux âmes bienheureuses
« Ô âmes saintes qui êtes délivrées de tout tourment et jouissez déjà, au Ciel, d’un torrent de douceurs souveraines, oh, comme j’envie votre bonheur ! Ah ! Je vous en supplie, vous qui êtes si proches de la fontaine de vie, puisque vous me voyez mourir de soif en ce bas monde, faites-moi la faveur d’un peu de cette eau fraîche.
Ô âmes bienheureuses, je le confesse, j’ai vraiment trop dilapidé ce qui faisait mon lot, j’ai vraiment trop mal gardé une pierre très précieuse ; mais vive Dieu, car je sens que cette faute n’est pas irrémédiable.
Eh bien, âmes bienheureuses, ayez la gentillesse de m’aider un peu ; moi aussi, puisque mon âme ne peut trouver ce dont elle a besoin dans le repos et dans la nuit, je me lèverai comme l’épouse du Cantique des cantiques et je chercherai celui que mon âme aime : “
Sur ma couche, la nuit, j’ai cherché celui que mon cœur aime”. Je le chercherai sans relâche, je le chercherai en toutes choses sans m’arrêter à aucune d’elles avant de l’avoir retrouvé sur le seuil de son royaume. »
Que jamais je ne sois séparé de vous
« Tous les tourments de cette terre réunis en gerbe, je les accepte, mon Dieu, je désire qu’ils soient mon lot, mais jamais je ne pourrai me résigner à être séparé de vous par manque d’amour. Ah ! Par pitié, ne permettez pas que ma pauvre âme soit abusée ; ne consentez jamais à ce que mon espérance soit déçue. Faites que je ne me sépare jamais de vous et, si c’est le cas actuellement à mon insu, retirez-m’en immédiatement. Renforcez mon intelligence, mon Dieu, pour que je me connaisse bien moi-même ainsi que le grand amour que vous me manifestez, et pour que je puisse jouir éternellement de la beauté souveraine de votre face.
Mon cher Jésus, que, jamais je ne perde le précieux trésor que vous êtes pour moi ! Mon Seigneur et mon Dieu, la douceur inexprimable qui tombe de vos yeux est trop vive pour mon âme, cette douceur avec laquelle vous, mon bien, avez daigné poser les yeux sur votre humble créature. »
Lettre à Anita Rodote, 27 août 1915
« Quand vous vous sentez attaquée par les tentations, le moyen de contraindre Dieu à venir à votre aide se trouve dans l’humilité de l’esprit, la contrition du cœur et la prière confiante. Face à une telle attitude, il est impossible que Dieu ne vous fasse pas bonne figure, qu’il ne cède pas, ne se rende pas et ne vienne pas à votre secours.
La puissance de Dieu, en vérité, triomphe de tout ; cependant l’humble prière douloureuse triomphe de Dieu lui-même, elle arrête son bras, éteint sa colère, le désarme, le vainc et rend Dieu, pour ainsi dire, dépendant et amical.
Portons notre regard sur notre divin Maître Jésus en prière, et découvrons la véritable échelle qui unit la terre au ciel. Nous y verrons que l’humilité, la contrition et la prière franchissent cette distance qu’il y a entre Dieu et l’homme. L’humilité, la contrition et la prière font en sorte que Dieu descend en l’homme et que l’homme s’élève en Dieu, dans une connaissance réciproque, un amour réciproque, une possession réciproque.
Ce grand secret que Jésus nous a enseigné par ses paroles et ses actes, je vous invite, par le très doux Jésus, à le pratiquer sans cesse. Par lui, vous parviendrez à ce que Dieu vous soit propice, vous changerez sa justice en attention amoureuse, et vous obtiendrez de lui tout ce que vous demanderez : le pardon des péchés, la grâce de vaincre tous vos ennemis, la sainteté et le salut éternel. »
Lettre à Rafaellina Cerase, 20 avril 1915
« Prenez la belle habitude de toujours penser à votre ange gardien. À côté de nous, il y a un esprit céleste qui, du berceau à la tombe, ne nous quitte pas un instant, qui nous guide, qui nous protège comme un ami, comme un frère, qui doit aussi nous consoler toujours, spécialement dans les heures qui sont, pour nous, les plus tristes.
Invoquez souvent cet ange gardien, cet ange bénéfique, répétez souvent la belle prière : "Ange de Dieu qui êtes mon gardien, vous à qui la bonté divine m’a confié, éclairez-moi, protégez-moi, guidez-moi, maintenant et toujours."
Quelle consolation sera la vôtre, ô Raffaelina, quand votre âme, au moment de la mort, verra cet ange si bon qui vous aura accompagnée tout au long de votre vie, et aura été plus prodigue qu’un cœur maternel ! »
Lettre à Raffaelina Cerase, 13 mai 1915
« Parmi toutes les vertus, et plus que toutes, la charité est celle qui, en soi, constitue la perfection chrétienne. Ainsi donc, ma sœur, accordons une attention sans mesure à cette vertu, si nous voulons trouver miséricorde auprès du Père céleste. Aimons la charité et mettons-la en pratique : elle est la vertu qui fait de nous des fils d’un même Père qui est aux cieux. Aimons la charité, car elle est le commandement de notre divin Maître : c’est par elle que nous nous distinguons des gentils. Aimons la charité et fuyons jusqu’à l’ombre où nous pourrions en quelque manière l’offenser. Oui, enfin, aimons la charité et ayons toujours présent à l’esprit le grand enseignement de l’Apôtre : " Nous sommes tous membres de Jésus-Christ " (Eph 5,30) et Jésus seul est " la tête de nous tous, ses membres " (Eph 4, 15). Montrons-nous notre amour réciproque et souvenons-nous que tous nous sommes appelés à former un seul corps et que si nous conservons la charité, la belle paix de Jésus triomphera et exultera toujours en nos cœurs. »
Source des textes et prières de Padre Pio :http://saint.padre.pio.free.fr

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Que le Sacré Cœur de Jésus vous brûle de son amour et que vous demeuriez dans sa grâce pour l'éternité, amen !